Ce sera pour le 2 juin prochain. Et ce n’est pas sans susciter de l’intérêt et de l’appréhension. S’il fallait raisonner en termes de moyens, de potentiel humain et matériel, on serait bien parti pour être confiant. Mais cela fait longtemps qu’ils ne rassurent guère.
On a pour ainsi dire toutes les raisons de nous inquiéter. Ce n’est pas là forcément une mauvaise chose. Il vaut mieux être sur ses gardes, et non pas timorés, plutôt que de chercher à prendre l’adversaire d’en haut et de s’exposer de la sorte à quelques douloureuses raclées.
Toujours est-il que l’entraîneur Fakhir a dressé la liste de sa troupe, pour nous servir la preuve, qu’à la veille de chaque rencontre, il y a toujours des têtes qui disparaissent, d’autres qui réapparaissent et d’autres encore qui surgissent de nulle part. Le tout nouveau a pour nom, Elaakchaoui, et il serait latéral gauche en championnat néerlandais. Les Ramzi, Benchrifa, ou Amzine, pourtant retenus lors de la première phase contre ce même Zimbabwe, ne sont pas rappelés. Et pour cause.
Il y aurait trop peu de place, depuis que ceux qui avaient claqué la porte, ont accepté de revenir grâce à une bien curieuse mission de bons offices. Une question : quelle serait la réaction de ces Ouaddou, Kharja, Regragui, entre autres… s’ils ne sont pas retenus dans le onze titulaire ?
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