Le onze égyptien a littéralement écrasé les éléphants de Côte d'Ivoire dans le cadre de la demi finale de la CAN Ghanéenne. Grâce à un score sans appel de 4-1, les protégés de Hassan Chehata ont à nouveau démontré la supériorité du football égyptien à l'échelle africaine, et là dessous, notre team national a peut être des leçons à prendre.
Une stabilité au niveau de l'encadrement
Rappelez vous, Hassan Chehata était déjà là avant les phases finales de la CAN 2006, il a conduit son équipe au sacre africain et le voilà entrain de les conduire vers un deuxième sacre successif.
Un championnat local d'un très haut niveau
Al Ahly, Zamalek, Enbi, l'équipe militaire et autres clubs égyptiens jouent souvent les premiers rôles dans les championnats arabes et africains. Et l'équipe nationale égyptienne est l'une des rares équipes africaines qui cherche encore ses joueurs dans les clubs locaux, et pour cause, vingt des vingt trois joueurs qui participent à la CAN évoluent dans "dawri super" le championnat égyptien, cela facilite la préparation et la cohésion entre les joueurs.
Un jeu collectif et une discipline tactique
Il n'y a pas de vraie star dans cette équipe égyptienne hormi peut être le très grand Essam El Hadari, mais les onze joueurs qui évoluent sur le terrain forment un collectif solide, on voit souvent Zaki et Aboutraika former la première ligne de défense quand le pharaons n'ont pas le ballon, les défenseurs excellent dans le marquage individuel et executent leur tâche avec discipline. Ce qui a d'ailleurs posé énormément de problème à des stars du football comme Drogba, Eto'o ou Kanou.
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