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Stades et pelouses : Le calvaire des clubs de l’élite

Source : Liberation Ma

A la veille de l’entame du championnat du groupement national de football dit d’élite dans ses deux divisions, le problème des stades et des pelouses se pose encore une fois avec acuité. Au-delà de la polémique suscitée par l’installation de pelouses synthétiques, le concours national et le public risquent de souffrir cette saison de difficultés comme ce fut le cas ces dernières années.




Du côté de la métropole dont les clubs ont lourdement peiné ces dernières saisons de la fermeture du complexe MedV et ont souvent joué à domicile dans d’autres villes en raison de l’état de la pelouse ou parfois pour des considérations sécuritaires, le conseil de la ville reste intransigeant concernant la mise au repos de la pelouse du complexe afin d’éviter les déboires de la saison passée. Cette dernière a nécessité un entretien accéléré pour être fin prête pour le début du championnat avec un certain Raja/OCS. Une pelouse qui devait être mise au repos a été beaucoup sollicitée lors de la Summer Cup organisée durant la trêve estivale. Mendoza en a fait les frais, il s’est vu refuser la programmation de la demi-finale et de la finale du Tournoi Antifit au complexe MedV. Et la situation de ladite pelouse n’est pas également étrangère à l’annulation cette année de l’édition du Tournoi Moulay Hassan prévu à Casablanca.


Quant au complexe Moulay Abdellah qui a bénéficié d’un aménagement au niveau de la pelouse et des tribunes, il se retrouve dans un bon état pour peu que l’on préserve cet acquis par un entretien adéquat et une programmation rationnelle des rencontres tout au long de la saison.


A Tétouan, le public de Saniat Rmel risque de ne pas suivre confortablement les rencontres de l’équipe de la colombe blanche en raison des travaux de réfection que connaîtra le stade et en particulier de la tribune officielle. C’est dire une autre souffrance qui s’ajoutera à celle causée par le gazon artificiel très critiqué par les joueurs et le staff technique la saison dernière.


Mais apparemment le club qui peinera le plus à ce niveau sera le KAC de Doumou qui sera acculé à jouer à domicile, loin de ses bases, en attendant l’aménagement de la pelouse. Lorsqu’on sait ce qu’a enduré le club l’année passée, on se rend compte alors que le staff technique et le comité auront du pain sur la planche pour gérer cette période critique.


En somme, il est certain que l’infrastructure de beaucoup d’autres stades où évoluent des clubs de première et surtout de seconde division laisse à désirer et que cela se poursuivra tout au long de cette saison

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