Source :
1970
Pour leur baptême du feu, les Lions de l’Atlas, commandés par Driss Bamous se retrouvent face à un très gros morceau, l’Allemagne des Maier, Vogts, Beckenbauer, Seeler et Müller.
Le Maroc joue bien, très bien même, ouvre le score par Mohamed Jarir dès la 21e minute. Mais les Allemands dirigés par Helmut Schِn se ressaisissent en deuxième période, égalisent d’abord par Uwe Seeler avant de s’imposer grâce à un coup de patte de Gerd Müller. Les Marocains ont-ils déployé trop d’efforts dans cette première partie? Toujours est-il qu’ils se sont relâchés totalement face au Pérou, future révélation du tournoi, lors de leur seconde sortie. Le dernier match des hommes du Yougoslave Blagoje Vidinic voit le Maroc quitter la compétition sur une note plus rassurante, puisque, après avoir été mené sur un but de Zhechev en fin de première période, le Maroc réussit à obtenir le nul à la 60e minute. Tout compte fait cette première prestation n’est pas si mauvaise.
Le Maroc a bien plaidé la cause africaine, en marquant un premier point et, surtout, en tenant la dragée haute à une Allemagne dont les rencontres à venir avec les équipes d’Afrique du nord ne seront plus jamais une partie de plaisir.
1986
Le Maroc revient pour la deuxième fois en phase finale. Il retrouve le Mexique, seize ans, après y avoir effectué des premiers pas plus qu’encourageants.
Le Maroc qui s’est imposé comme la meilleure équipe africaine en 1985 est largement délaissé à l’heure des pronostics. L’équipe a pourtant fière allure avec ses Zaki, El Biyaz, Lemriss, Dolmy, Bouderbala, Timoumi et Krimau. Et que dire de son entraîneur brésilien José Faria devenu en quelques mois un personnage extrêmement populaire. Les Marocains sont dans un groupe difficile aux côtés de l’Angleterre, de la Pologne et du Portugal.
A la surprise générale, Les Lions de l’Atlas, partagent les points avec la Pologne de Boniek, puis avec l’Angleterre des Shilton, Waddle, Hateley et Lineker.
Cerise sur le gâteau, les Marocains disposent ensuite du Portugal et, coup de théâtre, terminent en tête de leur groupe.
Pour la première fois, une équipe africaine franchit le cap du premier tour. Hélas, en huitième de finale, une erreur défensive, en toute fin de rencontre, permet à Lothar Matthنus de faire la différence. L’inexpérience, ajoutée à un certain complexe face aux Allemands ont sans doute empêché le Maroc d’aller plus avant dans la compétition.
1994
Des Lions à la parenté bien incertaine avec la génération 86. Résultat : Le Maroc est battu à trois reprises, par un seul but d’écart, par la Belgique, l’Arabie Saoudite et les Pays Bas. L’impression générale est plutôt celle d’une légère régression
1998
La Coupe du monde a changé de format. Pour son premier match, Le Maroc réussit à tenir tête à la Norvège, une équipe chuchotée avant le début de la compétition.
La seconde journée c’est la déroute des Marocains face au Brésil. Par excès de confiance, ils perdent 3-0.
Pour le match de l’ultime espoir, Le Maroc domine l’Ecosse 3-0.Helas ce n’est guère suffisant pour passer le cap du premier tour.
Une nouvelle fois, un goût amère de déjà vu……
1970
Pour leur baptême du feu, les Lions de l’Atlas, commandés par Driss Bamous se retrouvent face à un très gros morceau, l’Allemagne des Maier, Vogts, Beckenbauer, Seeler et Müller.
Le Maroc joue bien, très bien même, ouvre le score par Mohamed Jarir dès la 21e minute. Mais les Allemands dirigés par Helmut Schِn se ressaisissent en deuxième période, égalisent d’abord par Uwe Seeler avant de s’imposer grâce à un coup de patte de Gerd Müller. Les Marocains ont-ils déployé trop d’efforts dans cette première partie? Toujours est-il qu’ils se sont relâchés totalement face au Pérou, future révélation du tournoi, lors de leur seconde sortie. Le dernier match des hommes du Yougoslave Blagoje Vidinic voit le Maroc quitter la compétition sur une note plus rassurante, puisque, après avoir été mené sur un but de Zhechev en fin de première période, le Maroc réussit à obtenir le nul à la 60e minute. Tout compte fait cette première prestation n’est pas si mauvaise.
Le Maroc a bien plaidé la cause africaine, en marquant un premier point et, surtout, en tenant la dragée haute à une Allemagne dont les rencontres à venir avec les équipes d’Afrique du nord ne seront plus jamais une partie de plaisir.
1986
Le Maroc revient pour la deuxième fois en phase finale. Il retrouve le Mexique, seize ans, après y avoir effectué des premiers pas plus qu’encourageants.
Le Maroc qui s’est imposé comme la meilleure équipe africaine en 1985 est largement délaissé à l’heure des pronostics. L’équipe a pourtant fière allure avec ses Zaki, El Biyaz, Lemriss, Dolmy, Bouderbala, Timoumi et Krimau. Et que dire de son entraîneur brésilien José Faria devenu en quelques mois un personnage extrêmement populaire. Les Marocains sont dans un groupe difficile aux côtés de l’Angleterre, de la Pologne et du Portugal.
A la surprise générale, Les Lions de l’Atlas, partagent les points avec la Pologne de Boniek, puis avec l’Angleterre des Shilton, Waddle, Hateley et Lineker.
Cerise sur le gâteau, les Marocains disposent ensuite du Portugal et, coup de théâtre, terminent en tête de leur groupe.
Pour la première fois, une équipe africaine franchit le cap du premier tour. Hélas, en huitième de finale, une erreur défensive, en toute fin de rencontre, permet à Lothar Matthنus de faire la différence. L’inexpérience, ajoutée à un certain complexe face aux Allemands ont sans doute empêché le Maroc d’aller plus avant dans la compétition.
1994
Des Lions à la parenté bien incertaine avec la génération 86. Résultat : Le Maroc est battu à trois reprises, par un seul but d’écart, par la Belgique, l’Arabie Saoudite et les Pays Bas. L’impression générale est plutôt celle d’une légère régression
1998
La Coupe du monde a changé de format. Pour son premier match, Le Maroc réussit à tenir tête à la Norvège, une équipe chuchotée avant le début de la compétition.
La seconde journée c’est la déroute des Marocains face au Brésil. Par excès de confiance, ils perdent 3-0.
Pour le match de l’ultime espoir, Le Maroc domine l’Ecosse 3-0.Helas ce n’est guère suffisant pour passer le cap du premier tour.
Une nouvelle fois, un goût amère de déjà vu……
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Merci d'ajouter votre commentaire ici