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Doha, 17/10/03 - Le Maroc et l'Afrique du Sud ont "le plus de chances" d'abriter les phases finales de la coupe du monde 2010, qui aura lieu pour la première fois dans le continent africain, a estimé l'ancien président de la Fédération internationale de football (FIFA), le Brésilien Joäo Havelange, cité par l'AFP.
Joنo Havelange (87 ans), qui avait été à la tête de la FIFA de 1974 à 1998, a déclaré vendredi à Doha lors du congrès extraordinaire de la cette instance que "le Maroc et l'Afrique du Sud sont les plus forts candidats pour accueillir cette compétition, ce que j'ai déduit de mes dernières rencontres avec des responsables de la FIFA".
S'agissant de la candidature commune tuniso-libyenne, l'ancien président de la FIFA a rappelé que la FIFA avait retenu la candidature commune du Japon et de la Corée du Sud qui ont organisé conjointement le dernier mondial, précisant que l'actuel président, M. Joseph Blatter, est plutôt défavorable à l'idée de la candidature commune. "Le dernier mot revient au comité exécutif de la FIFA", a-t-il dit.
(MAP)
Doha, 17/10/03 - Le Maroc et l'Afrique du Sud ont "le plus de chances" d'abriter les phases finales de la coupe du monde 2010, qui aura lieu pour la première fois dans le continent africain, a estimé l'ancien président de la Fédération internationale de football (FIFA), le Brésilien Joäo Havelange, cité par l'AFP.
Joنo Havelange (87 ans), qui avait été à la tête de la FIFA de 1974 à 1998, a déclaré vendredi à Doha lors du congrès extraordinaire de la cette instance que "le Maroc et l'Afrique du Sud sont les plus forts candidats pour accueillir cette compétition, ce que j'ai déduit de mes dernières rencontres avec des responsables de la FIFA".
S'agissant de la candidature commune tuniso-libyenne, l'ancien président de la FIFA a rappelé que la FIFA avait retenu la candidature commune du Japon et de la Corée du Sud qui ont organisé conjointement le dernier mondial, précisant que l'actuel président, M. Joseph Blatter, est plutôt défavorable à l'idée de la candidature commune. "Le dernier mot revient au comité exécutif de la FIFA", a-t-il dit.
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