Source : l'économiste
Je suis persuadé que cette fois-ci est la bonne! Etrange impression certes mais fondée. Le comité d’organisation a l’air de mieux démarrer la campagne que les autres fois. Il est vrai qu’apparemment tout se joue en coulisse, mais il n’est pas interdit de faire des actions de grande envergure pour séduire le monde du foot, et faire parler du Maroc 2010 un peu partout dans le monde.
Fiable, les dirigeants s’intéressent aussi au football!!!
On aurait cru qu’à part le travail, et encore le travail, le dirigeant ne pouvait dégager du temps pour pratiquer du sport et de surcroît un sport d’équipe. En effet, cela nécessite de caler son emploi du temps à celui des autres pour profiter pleinement du groupe. Eh oui, le charme et la force du football, c’est que pour gagner, il faut s’appuyer sur les autres. Tout le monde est important et personne n’est indispensable, même s’il s’appelle Zidane !!!
Alors, si l’on voulait voir quels sont les points communs entre l’entreprise et le football et ne retenir que les 4 principaux, on citerait:
1 - les règles du jeu,
2 - un capitaine,
3 - une stratégie,
4 - des valeurs communes.
Mais là où s’arrête la comparaison, c’est que le football transcende l’ensemble de la société marocaine et est le compagnon de tout citoyen, quelles que soient sa profession et sa classe sociale.
Le football est un supervecteur identitaire, notamment lors des compétitions internationales où toute une nation est derrière le ballon rond.
L’entreprise a besoin de partenaires fiables, surtout des salariés motivés et impliqués, enclins à s’approprier le projet d’entreprise et ce pour satisfaire de façon concomitante leurs besoins et ceux de l’entreprise.
Et pour cela, il faut offrir un vrai projet de société au citoyen: quel plus formidable levier que le Mondial 2010.
Chacun d’entre nous doit considérer comme sien cette déclaration d’un certain J.F.K:
«Dites qu’est-ce que je peux apporter au Maroc et non pas qu’est ce que le Maroc pourrait faire pour moi?».
En effet, le Mondial 2010 est un vecteur fort pour associer le projet de société brossé par le gouvernement et codessiné avec la société civile et donner un sens à toute cette jeunesse, qui n’attend qu’un signal pour s’impliquer et apporter sa contribution à la construction de l’édifice Maroc.
Oui, et encore plus après le 16 mai, le Maroc a besoin d’un vrai plan Marshall pour rebooster de façon globale et sur du long terme son économie.
Les jeunes sont prêts à s’investir pour créer de la richesse dans leur entreprise si cette richesse est visible et partagée équitablement.
Le Mondial 2010 est une chance que nous devons saisir et gagner pour donner plus de sens à nos actions en faveur de l’économie.
Nous nous rendrons compte que la meilleure performance vient du travail vécu comme un plaisir.
Le Mondial 2010 peut être le meilleur atout pour le dirigeant et l’entreprise marocaine pour accélérer la mise à niveau par le lancement de nouveaux chantiers pharaoniques.
A nous de transformer l’essai, en rappelant haut et fort à la direction de la FIFA que nous voulons que le Maroc réussisse son arrimage à l’Europe, consolide sa démocratie et son développement. Le ballon au pied, chacun d’entre nous est prêt à marquer un but, celui de la victoire, de l’espoir, l’espoir d’être le prochain pays organisateur du Mondial 2010.
Je suis persuadé que cette fois-ci est la bonne! Etrange impression certes mais fondée. Le comité d’organisation a l’air de mieux démarrer la campagne que les autres fois. Il est vrai qu’apparemment tout se joue en coulisse, mais il n’est pas interdit de faire des actions de grande envergure pour séduire le monde du foot, et faire parler du Maroc 2010 un peu partout dans le monde.
Fiable, les dirigeants s’intéressent aussi au football!!!
On aurait cru qu’à part le travail, et encore le travail, le dirigeant ne pouvait dégager du temps pour pratiquer du sport et de surcroît un sport d’équipe. En effet, cela nécessite de caler son emploi du temps à celui des autres pour profiter pleinement du groupe. Eh oui, le charme et la force du football, c’est que pour gagner, il faut s’appuyer sur les autres. Tout le monde est important et personne n’est indispensable, même s’il s’appelle Zidane !!!
Alors, si l’on voulait voir quels sont les points communs entre l’entreprise et le football et ne retenir que les 4 principaux, on citerait:
1 - les règles du jeu,
2 - un capitaine,
3 - une stratégie,
4 - des valeurs communes.
Mais là où s’arrête la comparaison, c’est que le football transcende l’ensemble de la société marocaine et est le compagnon de tout citoyen, quelles que soient sa profession et sa classe sociale.
Le football est un supervecteur identitaire, notamment lors des compétitions internationales où toute une nation est derrière le ballon rond.
L’entreprise a besoin de partenaires fiables, surtout des salariés motivés et impliqués, enclins à s’approprier le projet d’entreprise et ce pour satisfaire de façon concomitante leurs besoins et ceux de l’entreprise.
Et pour cela, il faut offrir un vrai projet de société au citoyen: quel plus formidable levier que le Mondial 2010.
Chacun d’entre nous doit considérer comme sien cette déclaration d’un certain J.F.K:
«Dites qu’est-ce que je peux apporter au Maroc et non pas qu’est ce que le Maroc pourrait faire pour moi?».
En effet, le Mondial 2010 est un vecteur fort pour associer le projet de société brossé par le gouvernement et codessiné avec la société civile et donner un sens à toute cette jeunesse, qui n’attend qu’un signal pour s’impliquer et apporter sa contribution à la construction de l’édifice Maroc.
Oui, et encore plus après le 16 mai, le Maroc a besoin d’un vrai plan Marshall pour rebooster de façon globale et sur du long terme son économie.
Les jeunes sont prêts à s’investir pour créer de la richesse dans leur entreprise si cette richesse est visible et partagée équitablement.
Le Mondial 2010 est une chance que nous devons saisir et gagner pour donner plus de sens à nos actions en faveur de l’économie.
Nous nous rendrons compte que la meilleure performance vient du travail vécu comme un plaisir.
Le Mondial 2010 peut être le meilleur atout pour le dirigeant et l’entreprise marocaine pour accélérer la mise à niveau par le lancement de nouveaux chantiers pharaoniques.
A nous de transformer l’essai, en rappelant haut et fort à la direction de la FIFA que nous voulons que le Maroc réussisse son arrimage à l’Europe, consolide sa démocratie et son développement. Le ballon au pied, chacun d’entre nous est prêt à marquer un but, celui de la victoire, de l’espoir, l’espoir d’être le prochain pays organisateur du Mondial 2010.
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