Abdeslam Ouaddou, arrivé au mercato, connaît la pression de ces matchs sensibles que l’on qualifie volontiers de « matchs à six points » qu’ils soient intégrés à une stratégie ambitieuse ou à une autre, plus modeste.
À Athènes, avec l’Olympiakos, c’était en effet toujours chaud-bouillant. « Là-bas, et bien que pour l’Olympiakos il s’agissait essentiellement de matchs à gagner pour aller le plus loin possible et distancer le “Pana” et l’AEK, un nul à l’extérieur était déjà un détonateur. Vous pouviez être sûr qu’au retour, c’était le feu ! »
Pas de panique
« Les Grecs ont une culture de la “gagne” très prononcée. Mais, finalement, à la sortie on ressent la même pression que pour un match concernant le maintien. » Nullement effrayé à l’idée de se mesurer à Troyes sans aucune marge d’erreur, l’international marocain voit au contraire dans cette situation délicate un bon moyen d’affirmer une personnalité. « C’est une fin de saison excitante qui se présente et pour nous l’occasion est belle de montrer nos vraies valeurs. Pas question de paniquer, sinon on ne sera pas productifs. Et le “coach” a été très clair là-dessus : “Je ne veux pas d’une équipe tétanisée à Troyes”, nous a-t-il dit ».
source : lavoixdessports.com
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Merci d'ajouter votre commentaire ici