Tout d’abord, où en est Chammakh et ses problèmes d’adducteurs de début de saison ? Ce n’est plus qu’un mauvais souvenir. J’en ai fini avec ces problèmes qui n’ont gêné au tout début de la saison mais c’est déjà oublié.
Je me sens en forme et bien dans ma tête.
Dimanche, vous rencontrez la Guinée de votre ex-coéquipier Feindounou et néanmoins toujours ami ?
On a gardé les contacts et quand je l’ai eu au téléphone, il m’a paru confiant. Nous aussi, on part confiant car nous avons une belle équipe qui peut gagner même à Conakry. En tous cas, nous y allons pour chercher au moins un point, sinon plus, même si les conditions y sont difficiles.
Vous restez sur un Maroc-Tunisie, un peu décevant de par son résultat ?
En football, il faut toujours avancer, on va se servir de ce match pour corriger nos erreurs et de se refaire en Guinée. Il nous faut réussir à Conakry au moins autant qu’on l’a fait au Bostawa et au Malawi, où les conditions n’étaient pas idéales non plus. En tous cas, nous serons autant sinon plus motivés.
Le terrain, le public, la Guinée ?
Nous avons conscience que les conditions sont difficiles et l’adversaire encore plus ! Mais nous avons nos atouts, nous avons une bonne équipe capable de gagner n’importe quel terrain en Afrique.
Nous respectons notre adversaire, mais on est confiant quant à notre valeur et quant à notre force. A nous de prendre ce match comme il vient confiants en nos possibilités qui sont réelles. Oui, nous avons la volonté et la motivation de réussir un grand résultat à Conakry.
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