Accéder au contenu principal

Ligues des champions d'Afrique : le Raja passe à côté

Source : MAP

Le Raja de Casablanca s'est incliné devant la formation tunisienne de l'Etoile sportive du Sahel (0-1), samedi soir à Casabalnca, en match comptant pour les demi-finales aller de la ligue des champions d'Afrique du Football.


Dès l'entame de jeu, les Casabalancais du Raja ont dominé à plusieurs reprises exerçant ainsi un pressing très haut devant les Tunisiens qui n'ont pas trouvé d'autres alternatives que de bien souder leur ligne de défense.


Au cours des premières minutes de jeu, les Rajaouis partaient à l'assaut du camps des visiteurs, mais la défense de l'ESS, bien poussée par le gardien de but Austin Amamchukwu (portier de la sélection nigeriane), a eu le mérite d'éloigner tous les dangers venant notamment de Mesloub, Daoudi et Mesbah.


Pour sa part, le représentant de la Tunisie a paru sérieux et réaliste et a affiché une ferme volonté d'ouvrir le score. Ainsi la première tentative a été ratée par l'un de ses attaquants.


L'ESS qui dispose d'un effectif riche et compétitif, en l'occurence, Saïf Ghezal, kaïs Zouaghi, Emeka Opara, Yacine Chikhaoui et Manuel Silva Alives jouait à la prudence. Elle optait tout au long de la première mi-temps pour un dispositif plus défensif qu'offensif avec un milieu de terrain renforcé par trois pivots récupérateurs et un duo d'attaque à l'affût essayant d'exploiter les erreurs et de mener des contres.


Au retour des vestiaires, les Rajaouis, grâce à leur vitesse et leur application, se sont montrés les plus offensifs, mais la défense tunisienne représentée notamment par le duo Saïf Ghezal et Kaïs Zouaghi était comme une arme à double tranchant.
La formation tunisenne a été la première à ouvrir le score (l'unique but de la rencontre) par le biais de l'attaquant Emeka Opara qui a surpris la défense du Raja en signant un but précieux à la 58-ème minute de jeu.


Au fil du temps, le Raja cherchait à égaliser, une tenttative de Mohcine Iajour (62è) était bien stoppée par le gardien nigérian Austin Amamchukwu. Les visiteurs, de leur côté, ont du s'émanciper d'une lourde pression pour retrouver leur poids sur le terrain et imposer leur jeu. Ils ont misé sur les contre-attaques, menées notamment par Emeka Opara et Manuel Silva. , Pour faire acculer leurs adversaires en arrière, les Casablancais ont beaucoup peiné à trouver la moindre brèche. Mais leurs multiples contre-attaques n'ont pas abouti.


Durant toute la partie, les Rajaouis se sont contentés de contres-attaques sporadiques qui n'ont pas été de nature à inquiéter le portier Amamchukwu.
Le Raja piégé à domicile, devra ainsi cravacher dur, au cours du match retour programmé le 15 octobre prochain à Sousse.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Interview avec le défenseur Marocain du PSG Ahmed Kantari

Ci-aprés, l'interview accordé par le jeune défenseur Marocain du PSG Ahmed Kantari au site Planète PSG. A 20ans Ahmed Kantari vient tout juste de signer son premier contrat professionnel avec la Paris Saint Germain. Peux-tu te présenter rapidement ? (Rires) Ahmed Kantari, 20ans, jouer au Paris Saint Germain, international Marocain, défenseur central. J’ai été formé au PSG et a signé mon premier contrat professionnel cette année. Quand es-tu arrivé au PSG ? En 2000. J’entame ma 6ème année au PSG, 5ans en formation et là c’est ma première année avec les pros. Dans quel club évoluais-tu juste avant ? J’ai grandi à Blois, donc j’ai joué à Blois jusqu’à l’âge de 15ans et j’ai fait une année de 15ans Nationaux à Orléans puis je suis arrivé à Paris. Comment as-tu été repéré par le club ? J’ai été repéré avec les sélections régionales à l’âge de 14ans et je jouais avec Orléans cette année là. C’est avec la sélection du centre que j’ai été repéré par les recruteurs du PSG et j’ai signé dans

Hassan Shehata au Maroc

Source : L'opinion On peut trouver agaçant, et on aura raison, cette manie qui ont certains de demander à tous les techniciens qu'ils rencontrent s'ils seraient prêts à venir au Maroc pour " s'occuper " de l'équipe nationale. Ainsi Hassan Shehata, le coach égyptien, trois fois champions d'Afrique et qui vient de prolonger, jusqu'en 2014, son contrat avec la fédération de son pays, qui répond " qu'il serait prêt à entraîner le onze national marocain ". Ah bon Est-ce que la FRMF est intéressée Elle ne l'a jamais dit Alors de quoi parle-t-on On a l'impression que le Maroc est devenu un pays sans ressources, sans forces propres, sans mémoire et qu'il est là à solliciter qu'on veuille bien venir le tirer d'affaire. C'est regrettable et dommageable pour l'image de marque de notre football. Et puis Hassan Shehata réussirait-il au Maroc Pas sûr même s'il reste poli et mesuré avec tous les intervieweurs.

Marouane Chamakh champion avec Bordeaux

Source : AFP Marouane Chamakh, l'attaquant marocain de Bordeaux, auteur de 13 buts cette saison terminée par le titre de champion de France de L1, a déclaré qu'il devrait rester à Bordeaux, ajoutant "cela dépend du président", tandis que son entraîneur Laurent Blanc reste prudent. Après avoir entendu les milliers de personnes réunies sur l'esplanade des Quinconces scander "Chamakh à Bordeaux", le Marocain a déclaré "Oui je vais rester normalement, ça dépend du président", sous le regard amusé de Jean-Louis Triaud, aux commandes du club depuis 1996. Une déclaration cependant nuancée par l'entraîneur girondin Laurent Blanc, qui a ironisé en demandant aux journalistes présents s'ils étaient en possession d'une cassette audio pour immortaliser les déclarations de son attaquant. Ce dernier, qui a inscrit quatre buts dans les cinq dernières journées, avait émis ces dernières semaines le désir de quitter le club, s'il décrochait le tit